Nous sommes début août, déjà.
J'ai encore deux semaines en tant qu'hôtesse de caisse. Un job quadruple : j'encaisse, je garde les enfants, je sauve des familles de saucisses périmées et je donne des conseils capillaires.
Puis, des vacances, une semaine. Une escapade à Toulouse, pour poser des marques, repérer H&M et Zara, l'épicerie anglaise, le sushi-bar...
Puis, Lettres Sup. Hypokhâgne. Pierre de Fermat, résidence Larrey.
Je ne sais pas si ce blog va me suivre. J'essaierai. Pour raconter. Je me souviens d'avoir épluché le web à la recherche de témoignages sur ces années de prépa, sur tel ou tel lycée.
Finalement, je ne sais toujours pas si c'était le bon choix. Mais ces témoignages m'ont convaincu. Je ne dis pas qu'ils étaient tous positifs. Loin de là. Ils m'ont simplement montré plusieurs facettes, toutes sincères, d'une expérience qui ne peut se comprendre que si l'on s'y trouve confronté. Au fond, ce sont les plus acerbes récits qui m'ont poussée à me lancer. Quid du masochisme ?
Je vais rajouter une facette, ce sera simplement la mienne. En espérant qu'un jour, peut être, quelqu'un trouvera ce blog, en quête d'informations sur l'hypokhâgne, pourquoi pas sur Fermat en particulier. Ce quelqu'un, s'il arrive, je veux qu'il se sente libre de me contacter, par commentaire, ou par mail. Parce que rien ne vaut un dialogue humain. Pas même l'Onisep, encore moins Envoyé Spécial.
Voilà. Et, en attendant la jungle...
Règle n°1 : Toujours ignorer la présence de Platon dans les conseils de lecture estivale.
Commentaires
Tout simplement, bon courage! Ne jamais regretter ses choix.
Amicalement, Claude SEGARD de SANGATTE.